L’installation de l’arbre - un tremble - a lieu, grâce à l’aide de Denis qui l’a ramené de son champ. Finalement, j’en ai mis deux, côte à côte, car leurs branches sont assez petites et ne forment pas une couronne vraiment large.
Il reste maintenant à commencer la fabrication des impressions sur céramiques et à les suspendre à l’arbre.
Parallèlement, “Le Panneau du temps qui passe...” est mis en marche : il est projeté sur un des côtés du stand, si bien que les visiteurs le voient de loin et se voient arriver dans l’image.
De son côté, Jean-Yves Vigneau a continué son idée d’installation : il a fabriqué un double en négatif (gris) de son stand, en face de ce stand, ainsi qu'une table entre les deux .... (à suivre donc).
Sonja Hébert a décidé d’investir l’espace entre les stands, afin de faire pénètrer les visiteurs dans un lieu placé sous le signe du mystère : une spirale de papier suspendue dans laquelle pourront se promener les visiteurs. Tandis qu’elle exposera des dessins, préparatoires ou autre, sur le stand.
Robert m’emmène manger dans un Dixie Lee, une chaîne de type KFC local (mais bien, bien meilleur que KFC, me dit-il) : poulets ou poissons frits (très frits), avec des frites et du coleshaw, le tout évidemment assaisonné de keetchup. C’est une chaîne très populaire au Québec et dans les territoires maritimes. Ici, dès que des jeunes partis faire leurs études au loin reviennent pour une semaine, ils vont forcément un jour ou l’autre manger un Dixie Lee. C’est comme un souvenir d’enfance, et d’ailleurs Robert n’y échappe pas.
Ensuite, je vais me faire couper les cheveux chez Hélène, juste à côté de chez Robert.