Mardi 7 et mercredi 8 juillet

L’installation de l’arbre - un tremble - a lieu, grâce à l’aide de Denis qui l’a ramené de son champ. Finalement, j’en ai mis deux, côte à côte, car leurs branches sont assez petites et ne forment pas une couronne vraiment large.





Il reste maintenant à commencer la fabrication des impressions sur céramiques et à les suspendre à l’arbre.


Parallèlement, “Le Panneau du temps qui passe...” est mis en marche : il est projeté sur un des côtés du stand, si bien que les visiteurs le voient de loin et se voient arriver dans l’image.




De son côté, Jean-Yves Vigneau a continué son idée d’installation : il a fabriqué un double en négatif (gris) de son stand, en face de ce stand, ainsi qu'une table entre les deux .... (à suivre donc).



Sonja Hébert a décidé d’investir l’espace entre les stands, afin de faire pénètrer les visiteurs dans un lieu placé sous le signe du mystère : une spirale de papier suspendue dans laquelle pourront se promener les visiteurs. Tandis qu’elle exposera des dessins, préparatoires ou autre, sur le stand. 



Carole Bherer est arrivée avec son matériel.



En ce qui concerne les autres artistes, ils sont en attente. François Gaudet ne commencera sa peinture qu’au début de l’exposition. 


Robert m’emmène manger dans un Dixie Lee, une chaîne de type KFC local (mais bien, bien meilleur que KFC, me dit-il) : poulets ou poissons frits (très frits), avec des frites et du coleshaw, le tout évidemment assaisonné de keetchup. C’est une chaîne très populaire au Québec et dans les territoires maritimes. Ici, dès que des jeunes partis faire leurs études au loin reviennent pour une semaine, ils vont forcément un jour ou l’autre manger un Dixie Lee. C’est comme un souvenir d’enfance, et d’ailleurs Robert n’y échappe pas.





Ensuite, je vais me faire couper les cheveux chez Hélène, juste à côté de chez Robert. 


Son salon est dans sa maison. Elle est installée là depuis quelques années et a travaillé auparavant dans une beaucoup plus grande ville, Saint-Jérôme (Québec), pendant vingt ans. Elle a une bonne clientèle, de longues journées de travail fatigantes mais elle apprécie vraiment d’être maintenant dans une petite ville où tout le monde se dit bonjour. Elle est un peu étonnée que je veuille faire des photos pendant qu’elle fait ma coupe et tient à les regarder avec moi ensuite pour les choisir. Peut-être passera-t-elle au Symposium si le travail le lui permet.